Dimanche 22 avril 2018 à 16h.
Sur la Place de la République, Debout éducation Populaire continue d’occuper l’espace public pour l’atelier hebdomadaire « quelle société veut-on? » session 62 sur la santé (2).
Nous avons lancé le premier atelier éduc’pop à Debout éducation populaire au mois d’aout 2016. Cet atelier qui a lieu à raison de 2 heures hebdomadaires vise à répondre de façon précise et développée à la question suivante : quelle société veut-on?
Avec chaque audio, nous vous proposerons un rassemblement écrit des propositions par catégories, que nous reprendrons avant chaque séance, et que vous pouvez commenter directement sur le site!
Plus nous serons nombreux/ses à participer, plus nos propositions et réflexions seront riches, et mieux nous saurons quelle société l’on souhaite construire, avant de savoir par quels moyens…
Et justement, c’est cette seconde partie « comment y arriver? » que nous avons commencée en juillet 2017 à partir des propositions récoltées lors de la première partie!
La 63ème séance de l’atelier est prévue dimanche avril de 15h à 17h Place de la République, nous continuerons sur le thème « Santé ».
Cr de l’atelier « Quelle société veut-on ? Partie II Comment en place les propositions? »La santé (2)
Doit- on payer pour quelque chose que l’on peut faire soit même ? :
Par manque de temps, du a des plannings trop chargés et/ou une mauvaise répartition de praticiens sur un territoire ou un devoir de rentabiliser, il faut revoir notre système de soin.
Tout ce qui est de la bobologie devra être appris dès le plus jeune âge à l’école ou ce qui la remplacera. Cela servira à apprendre les recettes de grand mère/père, apprendre à faire des choses simples comme un pansement. Pour les plus numériques d’entre nous, une base de donnée en « open source » devrait être créer mais sans rentrer dans la parano de site comme Doctissimo.
Dans ces cours, il serait appris l’usage que l’on peut faire de certaines plantes afin d’acquérir des notions d ‘herboristerie. On y apprendrais aussi à apprendre à se connaître, connaître son corps et le corps humain en général. Les maladies, le handicap serait également enseigné afin qu’il n’y ait plus de discrimination. Chacun.e pourra alors être d’une certaine manière street medik. Des référents santé pourrait être alors choisit par quartier, immeuble, village comme le référent incendie ou d’évacuation actuel dans les entreprises. Il faut aussi ré apprendre la souffrance, ce n’est pas bien grave d’avoir un peu mal si c’est pour avoir plus du tout mal après.
Le rôle du médecin :
Les médecins auront alors un rôle un peu différent comme il pouvait avoir avant avec le médecin de famille. Il remettrait la valeur humaine au centre de sa pratique. Il connaîtrait alors les maladies dans la famille, les choix de soin de chacun .e . Les gens pourront aussi choisir leur façon de se soigner homéopathie, acupuncture comme en Chine… Le médecin aura alors juste un rôle consultatif et d’accompagnement. Cela évitera le trie de patient, des urgences débordés, de payé un médicament pour rien à la pharmacie, lutter contre les laboratoires privés qui cherchent à se faire de l’argent sur les dos de leur client ( enfin de leur patient). Cela évitera la sur prescription de médicament qui fini par appauvrir son corps, qui devient résistant aux microbes et rend inutile nos anti-corps.
En amont, nous devons éviter de tomber malade notamment en se nourrissant mieux. Dans les cours proposés précédemment il y aurait aussi des cours de cuisine mixte. Il serait appris ce qu’il y a de bon dans les aliments pour le corps et les vertus de la nourriture. Comme le dit Hippocrate « nourriture soit ton médicament ». Dans des maisons de retraites, le personnel s’est aperçu qu’après avoir changé de nourriture et le passage à la nourriture industriel, les gens déprimaient. Lorsqu’ils sont passé à de la nourriture plus saine au bout de deux/trois semaines ça allait mieux. Chacun ne pouvant avoir le temps ou l’envie de cuisiner de la bonne nourriture saine, un moyen devra être trouver pour être toutes et tous égaux sur la nourriture ( voir atelier sur l’agriculture). Même si on a la flemme de se faire à manger le soir après le boulot ou les cours, il faut prendre le temps . Des lieux pourraient permettre à ces gens là d’acheter ce type de bon produit à bas coup car il serait locaux ou alors si dans un immeuble une famille cuisine, elle peut faire un peu plus pour le voisin qui est célibataire après lui avoir demandé par téléphone. En plus de la nourriture, la pratique du sport, l’exercice de la parole doivent accompagner les gens vers une vie plus saine un peu comme au temps des grecques en enlevant les esclaves bien sur.
Le rôle de l’hôpital :
On gardera la chirurgie et toutes les médecines qui aident les maladies importantes comme les cancers, le sida etc etc au soin des hiataux. Il faut que ce qui est appris dans les études de médecines sur l’ampatie. Il ne faut plus qu ‘une personne soit considéré comme un numéro. Il faut que les médecins donnent envie de guérir aux gens et non plus seulement les soigner.La culture inscrite ne doit plus s’opposer à celle prescrite. Il faut laisser plus de place à la culture de chacun et la subjectif. Les médecins pourraient alors sans risque de procès ou de ne plus être dans le droit tester de nouvelle chose comme par exemple l’usage du miel pour certaine pratique. Comme avec les médecins et ce qui est dit précédemment, chacun pourra choisir ça façon de se soigner. Pour une personne en fin de vie, un peu à l’image du condamné à mort pourra choisir comment passé ces derniers instants de vie que soit par un rite religieux, un bon repas ou une bonne lecture. Les dettes des hôpitaux seront supprimé. Les dépenses en médicament pourront être diminué avec un conditionnement à l’unité et des médicaments à prix coûtant.
Il faut prendre plus de temps à l’hopital.
A propos de l’Atelier Éducation sur le thème « Quelle société veut-on? »
Nous devons tout autant nous interroger sur la question « Quelle société sommes-nous c a p a b l e s de construire? En effet, que savent les hommes (et les femmes) de leur propre psychologie? Que savons-nous du fossé qui sépare le désirable – désiré du faisable? Nous devons organiser une manifestation internationale devant l’UNESCO, Place Fontenoy, Paris XVe pour rappeler aux nombreux États signataires de la Charte de l’ONU et de celle de l’Unesco leur engagements éducatifs! Où sont les droits à la vie, à la sécurité, à l’éducation de toute personne humaine? Pour n’en mentionner que quelques-uns des beaux principes, tellement désirables, mais si piètrement appliqués? Parce que trop chers? Parce que priorité au juteux nucléaire, civile et militaires, tellement plus « rentables »?
Bon courage pour la suite, non seulement la France Insoumise, l’Humanité Insoumise aspire à plus de fraternité, d’égalité, liberté!
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