Samedi 21 avril 2018 à 16h.
Voici les textes qui ont été écrit lors de notre premier atelier d’écriture autour du mot : torpeur.
Torpeur :
Tord – peur – c’est comme un nœud dans le cerveau qui t’ attache au néant. L’état – flaque – quand t’arrive plus à te lever pour aller te mettre à l’ ombre. Faire 1 avec le sol. La carte = le territoire ( flaque ).
La torpeur, torpille nos terreurs en ce temps tropical !
En pleine torpeur, j’en sors plus, je préfère me tripoter.
Sous le soleil dans la chaleur moite, règne la torpeur. Dans le ciel, sous maigre nuage alangui une tortue prise de peur attend l’ aiglesoit repris de torpeur pour fuir de toute sa lenteur.
Torpeur d’ espoir
Torpeur de gloire
Torpeur :
L’état / immobilisme
Des gens actuels
Comment en sortir ?
Se déconnecter de Cyril Hanouna
Ne pas avoir peur de l’autre
Peur = se bloquer
Se mettre des barrières tous seul
La torpeur suit un état de stupeur puis une longue série de tentatives de fuite qui se soldent par des échecs. La torpeur s’installe et règne alors sur les esprits. Personne ne bouge plus. Tout le monde est figé. En plus aucune action collective ne semble possible. Quelle est le remède ?
Moi, j’avance. J’ai pas vraiment le choix. Sinon je vais finir comme les autres. En pierre, statufié, c’est l’ effet du nouveau programme télé. Tu sais, cette drôle d’émission sans queue ni tête, qui a jailli sur les ondes à la pub entre le fauteuil pour que les vieux grimpent les escaliers et un truc de rachat d’or. Depuis, le monde a changé. Un claquement de doigts, comme ça. Ceux qui mataient devaient soit avancé, toujours bonjour, soit ils se changeaient en pierre. Maintenant, on est quoi ? Une centaine, un millier, à remuer le vert dans la ville morte.